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The Good Guide
Le One&Only One Za'abeel est proprement hallucinant. Ce nouveau temple du luxe s’inscrit dans une prouesse architecturale qui donne le vertige.
En lisière du quartier qui porte le même nom, le One&Only One Za’abeel joue les équilibristes avec deux tours verticales traversées d’une troisième, horizontale et longue de 230 mètres, comme suspendue dans le vide. Idéalement placé en ville et à 10 minutes des plages, il jouit d’une vue imprenable sur le musée du Futur, le World Trade Center et la skyline.
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One Za’abeel : un Lego de verre
Philippe Zuber, P-DG du groupe hôtelier Kerzner International, confie avec fierté : « Le challenge était d’imaginer notre premier resort urbain vertical. Une bulle dans la ville où décompresser comme on le ferait dans n’importe quel autre vaste One&Only. Et avec une expérience inédite en matière de service, d’architecture et de gastronomie sur la destination. Si les Européens sont plutôt des habitués de The Palm, le tourisme au coeur de la ville fait de plus en plus partie intégrante des courts séjours sur la route de destinations finales comme Les Maldives. Y compris pour les familles qui viennent profiter de l’énergie incroyable qui se dégage de ce côté-ci de la capitale. »
Au total, le One&Only One Za’abeel concentre 229 chambres et suites de 75 m2 minimum (à partir de 664 € la nuit). L’intérieur, signé de l’architecte Jean-Michel Gathy, privilégie l’espace et la lumière. « L’espace est un luxe ultime en ville, mais qui fait tout particulièrement sens quand on séjourne au milieu du désert. J’y tenais, autant qu’à la lumière. »
Un hôtel spectaculaire
Résultat : des parties communes décloisonnées, des références aux dunes, beaucoup de marbres colorés et une allure minimaliste qui laisse le paysage des gratte-ciel assurer le spectacle.
La prouesse ? Le One&Only One Za’abeel traversant et suspendu à plus de 100 mètres du bitume, qui héberge sur son toit Tapasake, un pool club avec le plus grand couloir de nage des Émirats (120 mètres de long) et, à l’intérieur, un food court inspiré de celui de Harrods, qui réunit les influences levantines, une distillerie d’eau de rose, un torréfacteur, le premier caviste de Dubaï et la volonté d’interagir avec chaque chef avant de choisir son « comptoir ».
En plus de La Dame de Pic, première table à Dubaï de la cheffe étoilée Anne- Sophie Pic, un restaurant thaï ultrachic et intimiste, un japonais et Qabu, la table du chef Paco Morales, triplement étoilé à Cordoue et considéré comme un historien de la cuisine andalouse.
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