Horlogerie
Depuis 2014, Rolex, véritable acteur du monde des arts, est au côté de l’Opéra national de Paris, en tant que mécène. La manufacture horlogère suisse contribue ainsi au rayonnement d’une institution qui partage avec elle une même quête de l’excellence dans toutes ses créations.
Parallèlement à leur quête de perfection, de précision et de rigueur, la passion que partagent Rolex et l’Opéra national de Paris recèle quelque chose qui touche au sublime : une capture du temps suspendu. Et la défense d’un art à la beauté éphémère. C’est avec Stéphane Lissner, directeur de l’Opéra de Paris de 2014 à 2020, que l’aventure avec Rolex a débuté, même si la manufacture genevoise entretenait des relations privilégiées avec le monde lyrique depuis longtemps : en 1976, la soprano néo-zélandaise Kiri Te Kanawa est devenue le premier « Témoignage » Rolex issu du milieu artistique.
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« Ce qui est intéressant avec Rolex, c’est que la marque n’œuvre pas seulement en tant que partenaire, explique Jean-Yves Kaced, directeur du développement et du mécénat de l’Opéra national de Paris. Elle opère également en véritable acteur. Chaque contrat s’étale sur une longue durée et l’importance de ce soutien va bien au-delà d’une simple opération de relation publique. C’est donc sur un terrain de connivence et sur le long terme que nous avons fondé notre relation. »
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Un soutien sans faille de Rolex à l’Opéra de Paris
Le 30 janvier, l’Association pour le rayonnement de l’Opéra de Paris (AROP) et la maison Sotheby’s ont organisé une vente aux enchères intitulée « Auction for Action, Bid for Creation ! », dont les bénéfices ont été consacrés à la sensibilisation et à l’éducation culturelle et artistique des jeunes publics. Parmi les lots figuraient une montre Cosmograph Daytona de Rolex, des bijoux, des spiritueux, une toile d’Anselm Kiefer ou un dessin de Christo sur le projet d’empaquetage de l’Arc de triomphe.
« Non seulement Rolex a maintenu son soutien durant les deux années de Covid, lorsque nos salles étaient vides, mais, depuis, la marque a aussi augmenté sa participation », poursuit Jean-Yves Kaced. Ce qui s’est concrétisé avec le succès des plates-formes numériques, comme L’opéra chez soi, Medici.tv, Opera-online.com ou avec les nouvelles interventions dans le domaine de la danse.
Ainsi, Rolex a été l’instigateur des soirées « Perpetual Music » qui se sont tenues du 21 août au 3 septembre 2020 au théâtre Rossini, à Pesaro, au Staatsoper Unter den Linden, à Berlin, et au palais Garnier. Trois récitals amplement diffusés, où se sont produits la soprano bulgare Sonya Yoncheva, les ténors Juan Diego Flórez et Rolando Villazón et le violoniste Renaud Capuçon.
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