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Montre : Omega Speedmaster Chronoscope, jolie nouveauté

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Omega lance la Speedmaster Chronoscope. Cette nouvelle version de l’un des chronographes les plus célèbres de l’histoire propose de lire le temps de quatre manières différentes. Captivant !

L’Omega Speedmaster est une icône hors du commun. Sa renommée mondiale vient notamment du fait qu’elle est la seule montre à s’être baladée sur la Lune… Évidemment, ça vous pose une montre ! Ce chronographe a en effet été choisi par la Nasa comme garde-temps officiel du programme américain de conquête spatiale dans les années 60 et cet illustre honneur explique qu’elle jouisse encore aujourd’hui, d’une notoriété exceptionnelle.

Celle qui fêtera son 65e anniversaire l’an prochain a été produite à près de 3 millions d’exemplaires. Un vrai succès ! Faire évoluer une icône est un sacré défi ! Pour Omega, la facilité consisterait à proposer des rééditions à peine revisitées de définitions issues du passé. La manufacture a le choix, elle a lancé près de 300 versions différentes.

Une nouvelle Omega Speedmaster

Mais le danger avec ce type de politique est de donner à sa sportive une image un peu figée. La Speedmaster prend le risque de passer pour une belle endormie et pour éviter ce pernicieux écueil, Omega secoue son chronographe vedette avec une nouvelle version Chronoscope qui reprend une appellation chère à la marque allemande Junghans qui l’attribue à l’une de ses collections.

Elle adopte un style vintage. Certains détails – aiguilles feuille-de-sauge ou échelles en colimaçon au centre du cadran – rendent hommage aux chronographes des années 40. L’ensemble respecte scrupuleusement l’ADN de la famille Speedmaster. La montre adopte plusieurs codes esthétiques de cette collection, comme les chiffres arabes du cadran ou l’échelle graduée sur la lunette noire.

Quatre façons de mesurer le temps

Le mot chronoscope vient du grec chronos (le temps), auquel est accolé scope (l’observation). La nouvelle Speedmaster entend donc mesurer le temps qui passe, sous diverses formes, quatre exactement dans ce modèle-ci. Techniquement, cette nouvelle version est un chronographe comme toutes les Speedmaster. Ce terme désigne, en horlogerie, un garde-temps qui, en plus de donner l’heure, mesure les temps courts. Cette variante adopte au centre de son cadran une échelle de mesure en colimaçon.

Cet élément intègre une échelle tachymétrique qui, associée à sa lunette graduée en km/h, permet de définir la vitesse d’un objet entre deux points A et B. C’est aussi un pulsomètre qui permet de calculer un pouls. Enfin, elle fait office de télémètre, c’est-à-dire qu’elle permet de définir une distance grâce à un son.

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La nouvelle Chronoscope est animée par le calibre Omega Co‑Axial Master Chronometer 9908 à remontage manuel. Ce mécanisme se laisse admirer par le fond saphir. La gamme comprend sept versions en tout, dont une luxueuse variante à boîtier en or bronze. Cet alliage unique contient, en plus du bronze, 37,5 % d’or, de palladium et d’argent.

Cette version s’habille en outre d’un cadran en bronze oxydé à la patine jamais identique. Ses compteurs prennent des teintes opalines argentées. Plusieurs définitions de cadrans sont proposées, dont une version « panda », à compteurs noirs sur cadran argent. Cette collection Chronoscope intègre la gamme Speedmaster. Elle respecte les codes de sportivité et d’efficacité qui la caractérisent depuis près de soixante-cinq ans.


Omega Speedmaster

Parcours de ce chronographe mythique, surnommé aussi Moonwatch, en 6 grandes dates.

1957 : référence CK 2915. Naissance de la Speedmaster, développée à l’origine pour la course automobile.

1959 : référence CK 2998. Apparition des aiguilles alpha. Lunette noire en alu.

1963 : référence ST105.003. Ce modèle est retenu par la Nasa. Il embarque pour la Lune.

1964 : référence ST105.012. Cette évolution marque l’apparition du boîtier asymétrique. Le côté droit, plus large, protège les poussoirs. Apparition de la mention « Professional ».

1969 : Mark II. Cette variante inaugure un boîtier de forme tonneau, dénommé Pilot Line.

1971 : Speedmaster Automatic. Cette version adopte un mouvement chronographe automatique.

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