The Good Business
Pour la troisième année consécutive, The Good Life s’immisce dans la vie d’hommes de talent qui s’avèrent aussi être des supers papas. Comment jongler entre carrière et vie de famille, responsabilités professionnelles et personnelles ? Nos Good Dads se confient.
Bienvenue chez les Hanrion
Loin de la rengaine boulot, métro, dodo, Valérien Hanrion, mène sa vie tambour battant avec ses trois enfants et sa compagne à Paris. C’est dans leur bel appartement lumineux à la décoration éclectique de la rive gauche que la petite troupe nous reçoit par un matin pluvieux. Valérien est en rotation à Paris, Paola rentre tout juste de sa garde à l’hôpital, les enfants se réveillent à leur rythme – Tristan joue au timide alors qu’Edgar nous dérobe quelques feuilles de carnet pour ajouter sa touche à l’interview.
Le couple ne connaît pas les emplois du temps fixes : Monsieur est pilote chez Air France, Madame est anesthésiste. Pour autant, jongler entre un vol long-courrier et une garde ne leur fait pas peur : « On a la chance de travailler avec de supers équipes ce qui nous permet d’adapter nos missions en fonction du planning de l’un et de l’autre ». Une organisation bien éprouvée qui fait le bonheur d’Edgar, trois ans et demi, et des jumeaux Tristan et Olympe qui fêteront leurs deux ans lors de la publication de cet article.
Pilote de toujours
Quand il n’est pas à la maison, Valérien vit sa passion. Depuis tout petit, nous raconte-t-il, il rêve du ciel. « Je suis d’abord tombé amoureux de ma compagnie aérienne, confesse-t-il. Elle est synonyme de voyages, d’évasion. Je rêvais de parcourir le monde et, par extension, d’en faire mon métier ». Le passionné s’accroche à son ambition et intègre une promo d’ingénieurs avant de faire ses classes dans une école spécialisée. Aujourd’hui, il fait voler des milliers de passagers à bord d’un Boeing 777 de la compagnie française, qui s’affiche d’ailleurs fièrement dans son salon.
De retour sur la terre ferme, son quotidien est un peu différent. Lors de ses périodes de repos (3 à 5 jours avant de redécoller pour une destination exotique et lointaine), c’est lui qui prend en charge les enfants alors que Paola enchaîne les heures à l’hôpital. Promenades, courses, jeux de rôles ou moments tendres, il profite d’Edgar, Olympe et Tristan au maximum. Cette vie de famille originale, le papa la voit comme une chance : « Tout le monde s’épanouit à son rythme et on ne subit pas la routine, que demander de mieux ? ».
Une tribu en promenade
Malgré leurs âges rapprochés ou la gémellité des deux petits derniers, ce sont Edgar, l’aîné, et Olympe, qui montrent le plus de points communs : « Ce sont tous les deux de gros chats, qui adorent dormir, se prélasser, prendre leur temps. Tristan, lui, est plutôt du genre boule d’énergie ». La seule représentante féminine de la fratrie est aussi la plus indépendante et le prouvera en se jetant sur sa poussette à l’heure de la promenade. La Stokke Beat est particulièrement agréable pour les balades en ville car compacte, tout en conservant bébé bien au-dessus du sol. Rehaussée sur son trône, la petite princesse suivra donc confortablement de loin les réjouissances animées par ses deux frères, l’un fonçant sur sa trottinette, l’autre dans les bras de son papa. Malgré trois marmots à surveiller, Valérien guide sa poussette aussi facilement qu’il poserait un avion, la Stokke Beat ayant été optimisée pour une maniabilité adaptée à la ville et ses obstacles.
Alors que l’on s’apprête à quitter la petite famille, les trois enfants prennent place à table, juchés sur leur chaise Tripp Trapp : « Chacun a défini sa place et définitivement adopté sa chaise. Edgar était le plus heureux du monde le jour où on lui a confié sa chaise de grand… ». Une émotion que vivront bientôt Tristan et Olympe, à qui nous souhaitons donc un très joyeux anniversaire !
Les good adresses de Valérien Hanrion :
– Le fleuriste du marché Port-Royal (Boulevard de Port-Royal, 75014 Paris) : une petite célébrité au cœur de ce marché à deux pas de chez nous, ce fleuriste est l’un des meilleurs que je connaisse.
– Le restaurant le Cherche-Midi (22 Rue du Cherche-Midi, 75006 Paris) : un petit bistro italien sans prétention où l’on se sent comme chez soi, toujours complet avec une carte inédite chaque jour.
– Le restaurant L’Etage de Pastavino (18 Rue de Buci 75006 Paris) : un autre italien que l’on adore, des produits frais, une ambiance familiale, testez absolument les caccio e pepe et le tiramisu, ils sont à tomber !
> Retrouvez tous nos incroyables papas dans le dossier The Good Dads et plus d’informations sur la marque sur le site de Stokke.