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On vient dîner ici après 22 h, en bandes d’amis bruyantes. C’est que le décor très années folles se prête aux agapes festives : avec maestria, l’architecte d’intérieur Lázaro Rosa-Violán a joué la surenchère de motifs, avec des chaises qui évoquent les papiers peints les plus vieillots, de vives estampes aux murs, des tapisseries florales et six sortes de carrelages. Quant au menu, à défaut d’être audacieux, il vous sustente en volailles parfaites – ne pas s’effrayer des poussins rôtis, le must eat des lieux.
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