Déjeuner au milieu de pièces d'art chez Sotheby’s Paris

Par La rédaction, le 24 avril 2025

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Dans le tout nouveau flagship de Sotheby’s Paris, au 83 rue du Faubourg Saint-Honoré, l’art s’invite à table. Avec l’ouverture de 83 Le Café, la maison de ventes aux enchères inaugure un lieu hybride, à la croisée de la gastronomie, du design et de la culture. Une adresse pensée comme un salon parisien d’un nouveau genre, où l’on déjeune face à un Monet ou un sac Birkin de collection, en savourant la cuisine inventive du chef Gaëtan Thibert.

Au premier étage de son tout nouveau flagship du 83 rue du Faubourg Saint-Honoré, Sotheby’s Paris ouvre un café-restaurant à la hauteur de ses ambitions culturelles : 83 Le Café, véritable écrin gastronomique pensé comme une extension de ses expositions. Imaginé comme un lieu de vie, de dégustation et de conversations, ce nouveau spot parisien conjugue art, luxe et cuisine d’auteur dans une ambiance feutrée rythmée par les ventes et les vernissages.

Au rez-de-chaussée se tiennent les expositions des collections mises aux enchères.

83 Le Café : le passage obligé des amoureux d’art

Aux commandes, Gaëtan Thibert, jeune chef formé au Ritz et passé par Le Tout-Paris au Cheval Blanc, signe une carte libre et créative à l’image des œuvres qui l’entourent : club sandwich chic, magret de canard twisté aux agrumes, raviole de bœuf confit, daurade en gravlax et desserts tout aussi ciselés par la pâtissière Emma Teulade, comme un vacherin à la clémentine ou un Saint-Honoré réinventé.

L’espace, baigné de lumière et décoré par Hubert Le Gall, mêle verre soufflé et poésie lumineuse pour faire dialoguer arts de la table et arts plastiques. Il est possible d’y savourer un tea time face à un sac Birkin historique, de déjeuner entouré de chefs-d’œuvre ou de déguster un cocktail dans un verre signé Sarah Andelman.

Ouvert tous les jours sauf le dimanche matin, 83 Le Café se positionne comme un nouveau rendez-vous pour collectionneurs, flâneurs curieux et amateurs d’émotions culinaires. Une adresse à la croisée des mondes, où l’assiette devient exposition, et l’art de vivre une œuvre en soi.