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Shopping : nos 6 casques antibruit favoris
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The Good Business

Shopping : nos 6 casques antibruit favoris

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Vrombissement des moteurs, voisin exalté, cris de bébé… On a toujours une bonne raison d’opter pour un casque à réduction de bruit à bord d’un avion. La rédaction de The Good Life a sélectionné pour vous les six modèles les plus performants du moment.

1 – Le petit dernier. Le dernier‑né de la gamme AKG se fait d’emblée remarquer par son design qui met en avant ses matériaux : châssis métallique et écouteurs en mousse à mémoire de forme. Côté réduction de bruit, la marque du groupe Harman, qui appartient désormais à Samsung, a équipé son N700NC d’un système de micros qui capturent le bruit ambiant et peuvent le réinjecter dans les haut‑parleurs en cas de besoin. Une application dédiée permet d’appliquer une égalisation personnalisée et d’ajuster le niveau de réduction de bruit.
• Too good : le N700NC est livré avec un adaptateur pour le brancher directement dans les prises des sièges d’avion.
• Too bad : petits et cachés, les boutons de lecture et de volume ne sont pas faciles à atteindre ni à manipuler…

N700NC, AKG, 349 €.
N700NC, AKG, 349 €. DR

2 – Le précis. La marque chérie des audiophiles japonais s’est elle aussi lancée dans le casque à réduction de bruit active. Ce modèle conserve un fil, mais promet, en contrepartie, une qualité sonore incomparable. De fait, les algorithmes qui annihilent les basses respectent la musique en toute circonstance, tant en termes d’équilibre que de spatialisation.
• Too good : la puissance et la clarté du rendu audio.
• Too bad : le fil à la patte.

ATH‑MSR7NC, Audio-Technica, 299 €.
ATH‑MSR7NC, Audio-Technica, 299 €. DR

3 – L’extra‑light. Pas question pour Sennheiser, acteur historique du casque audio, de se laisser distancer sur le terrain de la réduction de bruit ! Son modèle haut de gamme, le PXC 550, embarque une technologie maison baptisée NoiseGard, qui produit un son chaleureux tout en faisant oublier les bruits de fond. Grâce à sa latence très faible, ce casque est idéal pour regarder un film sans décalage. Quant à son poids réduit (245 g), il permet de le supporter même sur des vols long-courriers. Et pour revenir au monde extérieur, deux tapotements suffisent à rétablir le contact avec son environnement sonore.
• Too good : l’autonomie exceptionnelle, jusqu’à 30 heures…
• Too bad : la qualité audio avec réduction de bruit perfectible.

PXC 550, Sennheiser, 349 €.
PXC 550, Sennheiser, 349 €. DR

4 – Le bon élève. Lui aussi superléger (234 g), le tout dernier casque antibruit haut de gamme de Bose embarque le contrôle vocal (Google Assistant sous Android et Siri sous iOS), ce qui permet d’interroger un assistant et de consulter facilement ses notifications, voire d’y répondre. En matière de confort, c’est un modèle du genre, mais, surtout, le QC 35 II demeure l’un des plus performants de sa catégorie dans la réduction de bruit active. Même quand le casque annihile le ronflement des réacteurs, le son demeure très équilibré, bien spatialisé…
• Too good : la possibilité d’y connecter jusqu’à trois appareils mobiles en simultané (et sans prise de tête…).
• Too bad : le minijack au format inhabituel.

QC35 II, Bose, 380 €.
QC35 II, Bose, 380 €. DR

5 – La beauté. Une fois n’est pas coutume, Bang & Olufsen se démarque par son design : aluminium brossé, deux cuirs de grains différents, une rotule au dessin futuriste… Son ADN scandinave se traduit aussi par une grande simplicité d’appairage et d’utilisation. Pour garantir une parfaite tranquillité aux utilisateurs, le fabricant danois a embarqué sur ce modèle une nouvelle réduction de bruit active qui, en plus des basses, atténue efficacement les médiums, donc les voix…
• Too good : la possibilité de remplacer facilement la batterie.
• Too bad : une application mobile pauvre en fonctionnalités…

Beoplay H9i, Bang & Olufsen, 499 €.
Beoplay H9i, Bang & Olufsen, 499 €. DR

6 – Le challenger. Le WH‑1000XM3 de Sony est sans doute le plus complet de cette sélection : confort optimisé, son harmonieux et précis qui met en avant des basses claires et puissantes, atténuation du bruit ultra‑efficace (particulièrement performante pour faire oublier les voix alentours), téléphonie mains libres même par gros temps grâce au système de micros…
• Too good : la recharge par USB‑C plus rapide.
• Too bad : les annonces vocales, disponibles uniquement en anglais, et l’impossibilité de connecter deux appareils en même temps.

WH‑1000XM3, Sony, 379 €.
WH‑1000XM3, Sony, 379 €. DR

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