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Naguère leader du groupe 113, le rappeur Rim’K parle à toutes les générations. Fan d’horlogerie, il vient d’être officiellement désigné « ami de la marque » par Omega. L’occasion, pour lui, de nous parler de ses montres.
Figure incontournable du rap français des années 2000, Rim’K est aujourd’hui une force tranquille qui n’a jamais délaissé la musique. Le leader charismatique du groupe 113 continue de faire vibrer ses fans au fil d’une carrière solo. Il est loin des clichés « bling-bling » que l’on attribue souvent aux rappeurs.
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Rim’K Master
À son poignet, le jour où nous le rencontrons ? Une Speed master ’57 au cadran vert montée sur bracelet acier. « Ce qui me plaît dans cette montre que je porte au quotidien, c’est l’élégance sportive qui s’en dégage », raconte-t-il. Et Omega ? « C’est une institution ! J’admire cette marque depuis tant d’années, c’est un honneur de faire à présent officiellement partie de ses amis », poursuit le chanteur.

Si Rim’K porte des Omega depuis longtemps, sa première vraie rencontre avec la maison s’est faite à l’été 2024, alors qu’il déversait son incomparable flow au cours de la cérémonie d’ouverture des jeux Olympiques de Paris, avec, à son poignet, une Speedmaster Moonwatch en or Sedna que lui avait confiée la marque.
« Le feeling est bien passé et je me suis plongé dans son histoire et ses modèles iconiques, que je connais – sais déjà à travers la Speedmaster notamment. Pour moi, Omega, c’est la montre de James Bond, la classe incarnée ! » s’amuse t -il. Cette collaboration avec la manufacture suisse, propriété du Swatch Group, traduit une passion pour l’horlogerie qui l’anime depuis longtemps. De ce point de vue, Rim’K ne fait pas exception : il a appris à lire l’heure sur une Flik Flak – « elle était rouge », se souvient -il – et confie être adepte de vintage.
« Miser sur les classiques »
Dans sa collection, du très solide : un modèle rare de Daytona et une Day-Date Wimbledon en or rose de chez Rolex, une Royal Oak d’Audemars Piguet au design carré des années 1980, ou encore une vieille Tank de Cartier. « Comme en musique, c’est important de miser sur les classiques. Ils sont une base fidèle dont on peut s’inspirer ! »

Preuve que son penchant pour les montres ne s’arrête pas aux produits, Rim’K raconte être allé à la rencontre des artisans et de plusieurs horlogers en vallée de Joux. « Ce qui me fascine dans cet univers ? Le travail et le savoir-faire qu’il y a derrière un cadran. Au-delà des grandes marques, la Suisse regorge de personnalités qui ont un talent incomparable et travaillent, seules dans leur atelier, à réaliser quelques pièces seulement par an. J’étais comme un gosse, émerveillé. Il me tarde d’aller visiter la manufacture Omega. »
Pour l’heure, Rim’K est au cœur de l’incroyable documentaire DJ Mehdi. Made in France, dans lequel il raconte l’histoire du 113 avec celui qui a produit en grande partie l’album Les Princes de la ville, sorti en 1999. Ce même album dans lequel on retrouve le cultissime titre Tonton du bled, qui permit au groupe de décrocher en 2000 deux Victoires de la musique, meilleur album rap et révélation de l’année.
On le suivra également sur une grande tournée par laquelle il fêtera ses 30 ans de carrière à partir de mai prochain, pour finir en apothéose à Paris, le 12 décembre, à l’Adidas Arena. Rim’K promet « des featurings avec de nombreux artistes, des anciens du groupe, sdp du très lourd ». On le croit.
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