The Good Business
Être papa et chef d’entreprise, à Paris, c’est tout un sport. The Good Life et Stokke partent à nouveau à la rencontre de ces hommes qui jonglent avec brio entre vie perso et vie pro pour une nouvelle saison de notre série The Good Dads. Pour ce dernier épisode, nous avons rendez-vous avec Benjamin Cardoso, fondateur et président de Le Cab, application VTC 100% frenchie.
Nous aurions pu nous rendre au dernier rendez-vous de notre série The Good Dads dans une belle berline commandée en quelques minutes depuis notre smartphone, comme souvent, mais nous choisissons plutôt l’option vélo, beau temps oblige.
Et pourtant, nous aurions été pile dans le thème, puisque notre point de chute n’est autre que le bel appartement parisien de Benjamin Cardoso, président et fondateur de l’application Le Cab, numéro trois sur le marché français des VTC, et papa du petit Paul, tout juste 6 mois.
Dans leur bel appartement du quartier des Tuileries, Benjamin et son épouse Alexia nous insufflent une aura de simplicité, de dynamisme et de modernité, à l’image du milieu dans lequel ils évoluent : celui des start-ups. Si Madame travaille aujourd’hui pour The Galion Project, un Think Tank dédié aux entrepreneurs de la tech, elle a fait ses armes chez The Family puis The Bureau. Monsieur, lui, crée The Cab à la sortie de l’école, en 2011, une première expérience professionnelle réussie puisque sa société fait aujourd’hui partie des acteurs majeurs parmi les applications de VTC et elle est aujourd’hui partenaire de Keolis, filiale de la SNCF. Benjamin nous confie même voir déjà son avenir dans les voitures autonomes.
Alors, quand on vit dans un monde – celui des entrepreneurs – où les horaires ne sont pas les mêmes que ceux du commun du mortel, comment fait-on pour organiser une vie de famille ?
Depuis la naissance de Paul, le jeune papa ressent beaucoup plus le besoin de se retrouver en famille, « mais sans négliger les copains ! », rigole-t-il, « quand on part en week-end sans lui, je ressens rapidement un vrai manque, j’ai besoin de l’entendre gazouiller au téléphone, de rentrer au plus vite auprès de lui ». L’entrepreneur n’a pourtant pas ralenti la cadence au boulot – il l’adapte – mais s’est mis au rythme de Paul à la maison : se lever tôt, profiter de lui le week-end… « Je tente d’être à sa vitesse pour le voir grandir, d’autant plus que le lien qui nous unit se renforce chaque jour un peu plus, à mesure que j’apprends à le connaître ». Sa philosophie du travail a, elle aussi, évolué : « j’ai créé Le Cab pour me lancer un défi, et je l’ai fait grandir pour m’épanouir. Aujourd’hui, je ne travaille plus pour moi mais pour assurer un avenir à ma famille ». Qui sait, peut-être qu’un jour petit Paul tiendra les rênes de l’entreprise de son papa ?
Paul, petit garçon de tout juste six mois et pourtant si éveillé, a tout du bébé idéal. Dès le premier contact, il nous sourit, rigole à nos grimaces. Au cours de l’interview de son papa, il ne décrochera même pas un sanglot et s’endormira en un battement de cils lors de notre balade aux Tuileries, confortablement installé dans son carrosse signé Stokke. Rien ne le réveille, pas même les chemins irréguliers du plus anciens des jardins à la française, atténués par la structure de la poussette. « Paul adore sa poussette » explique Benjamin, « C’est un bonheur de le voir observer ce qui l’entoure. Comme nous positionnons la poussette de façon à ce qu’il soit à notre hauteur, il regarde tout, il est très alerte. » La poussette Xplory peut, en effet, se fixer de plusieurs façons, en landau ou dans un mode se rapprochant de la chaise, permettant à bébé de faire la sieste confortablement ou d’être en contact permanent avec son environnement. Côté dodo, « Paul adore y faire la sieste à l’ombre quand nous l’amenons le week-end sur l’Île de Ré, après une après-midi à explorer la nature qui l’entoure ».
Cerise sur le gâteau : « j’ai pu choisir la couleur du tissu et du châssis, c’est la classe, non ? ».
Les good adresses de Benjamin Cardoso :
– Anahi, 49 Rue Volta, 75003 Paris : mon restaurant favori du moment, une viande succulente qui me rappelle l’Argentine, où nous nous sommes rencontrés, Alexia et moi.-
-L’Ami Jean, 27 Rue Malar, 75007 Paris : un bistrot basque resté dans son jus qui propose une cuisine bistronomique et des produits d’exception.
-L’Hôtel Bourbon, 39, rue des Petites-Écuries, 75010 Paris : on y fait la fête… quand on peut !
Plus de bonnes adresses sur son blog : http://www.takemethere.fr