The Good Business
Pour la troisième année consécutive, The Good Life s’immisce dans la vie d’hommes de talent qui s’avèrent aussi être des supers papas. Comment jongler entre carrière et vie de famille, responsabilités professionnelles et personnelles ? Nos Good Dads se confient.
Retrouvez le jeu concours que nous avons organisé avec Stokke afin de gagner une poussette Stokke Beat et une chaise Tripp Trapp en fin d’article !
Alors que la canicule s’abat sur Paris, nous avons rendez-vous à quelques pas des Grands Boulevards, à la découverte de la petite fratrie d’Edouard Morhange, un Good Dad mordu d’entreprenariat… et de bébés !
Une âme de touche à tout
La vie d’entrepreneur d’Edouard résonne avec sa vie de famille. Lola, 19 ans, son premier enfant, naît en même temps que sa première entreprise, Monsieur Cinéma. Sam, 16 ans, débarque alors même qu’Edouard est en train de signer le rachat de sa boîte. Ellie, elle, pointe le bout de son nez alors que l’idée de sa nouvelle aventure, Epicery, est en train de germer et Joseph, 1 mois à la rédaction de ces lignes, alors que la start-up est en plein envol. Une belle file chronologique pour Edouard qui, semble-t-il, n’en finira jamais de se réinventer.
Celui qui a créé pas moins de cinq entreprises depuis le début de sa vie professionnelle a le chic pour transformer des idées toutes bêtes en success-stories. La dernière en date : Epicery, un service de livraison de produits issus des petits commerces de bouche directement chez soi.
Il a un peu plus de quatre ans, alors que les vélos des livreurs à gros sacs fluo se font discrets dans les rues de Paris, transportant plutôt des pizzas et des sushis que des plats de chefs, Edouard a l’idée, avec son associée Elsa, de proposer une livraison d’un nouveau genre. Exit la junk food, son service proposera de livrer les produits du quotidien de proximité – et de qualité – pour encourager les familles en manque de temps mais pas d’envie de cuisiner.
La petite start-up fondée en 2016 est devenue grande ! Une croissance exponentielle, l’entrée de Monoprix au capital, la conquête d’une autre grande ville comme Lyon… Si Epicery ne manque pas d’ambition Edouard, lui, garde les pieds bien ancrés à Paris, où il réside avec sa (grande) famille.
De l’importance du repas
Dans son bel appartement du centre de Paris, on croise, pêle-mêle, le robot préféré des enfants nés dans les années 1990, Emilio, des pièces de design contemporaines et des souvenirs familiaux. Le cœur de la maison ? « Sans hésiter la table à manger, dans le salon » répond Edouard, du tac-o-tac. Passionné bonne bouffe, en témoignent ses nombreuses recommandations de restaurants (voir encadré), le rituel du repas est un immanquable. Ellie et Joseph participent tous deux à ce moment familial comme des grands grâce à leurs chaises Tripp Trapp évolutives. Joseph pourra, dans quelques années, s’asseoir comme sa grande sœur sur la même chaise sur laquelle on le berce aujourd’hui. La Tripp Trapp, c’est devenu une tradition chez les Morhange. Lola s’était vue offrir le kit bébé. Depuis, chacun des quatre enfants a adopté sa chaise Stokke.
Joseph, le plus chanceux, trône dans une poussette Beat par Stokke, la plus maniable des engins à roulettes de la marque norvégienne, quand il arpente les rues du 9e arrondissement avec ses parents. « On va partout avec cette poussette, se ravit Edouard, et elle rentre dans notre ascenseur. C’est un vrai luxe car on n’a pas à sortir Joseph de son sommeil pour lui faire gravir les marches. Il finit ainsi sa sieste à la maison, bien confortable dans la Stokke Beat ». En grands amateurs de bonnes choses, Edouard et sa compagne Roxane ne manquent pas de noter le style de leur nouvelle poussette, totalement customisable. Eux ont choisi de l’habiller du coloris jean bleu, l’occasion de crâner gentiment auprès de leurs amis quand ils les rejoignent pour un brunch, le dimanche, à la table de l’hôtel Panache.
Le week-end, on se balade du côté du Palais Royal. On fait une halte sur « la place des colonnes », dixit Ellie, 4 ans et demi, qui se passionne déjà pour l’œuvre contemporaine de Daniel Buren. Par fortes chaleurs ou temps de pluie, la famille se réfugie sous l’un des nombreux passages du quartier, un régal pour les yeux et pour la petite fille qui, absolument fan de BD, Astérix et Obélix et Lucky Luke en tête, se laisse souvent happer par les librairies foisonnantes.
Il n’est pas rare de voir ses parents céder devant sa folle envie de lecture. On quittera d’ailleurs la fratrie alors qu’Ellie serre fièrement son nouvel opus d’Astérix. Joseph, lui, s’est assoupi comme à son habitude après quelques minutes de balade, bien confortablement installé dans sa poussette.
Les bonnes adresses d'Édouard dans son quartier
– Juste / Paris (48 Rue Laffitte, 75009 Paris) : un restaurant de crustacés et poissons ultra-frais où l’on adore se poser en terrasse le week-end.
– Eels (27 Rue d’Hauteville, 75010 Paris) : une très bonne table bistronomique dans le quartier des Petites Ecuries.
– La fromagerie Monbleu (37 Rue du Faubourg Montmartre, 75009 Paris) : on peut y acheter son fromage (délicieux, une sublime sélection venue de Haute-Savoie) ou le déguster sur place.
– Poissonnerie Lorenzo (1bis Rue Cadet, 75009 Paris) : les bonnes poissonneries sont rares à Paris ! Celle-ci propose du poisson à déguster avec un petit verre de Blanc en terrasse ou à cuisiner chez soi, ils ont aussi une plancha et leur paëlla est délicieuse.
– Super-nature (15 rue de Trevise, 75009 Paris) : un bistronomique kids-friendly, une belle ambiance et des plats, comme vous pouvez vous en douter, très axés légumes.