The Good Business
The Good Life et Stokke donnent la parole à ces good dads qui jonglent entre carrières professionnelle, de papa et de parisien.
« Les 1001 vies de Rasmus Michau », tel pourrait être le titre de cet article.
Danois d’origine, Parisien d’adoption, ce serial entrepreneur quarantenaire a marqué de son nom exotique les nuits parisiennes. « Rangé » depuis quelques années, il a vu naître deux nouveaux bébés en fin d’année dernière : Magnus, son fils, le plus mignon, et The Bureau, son nouveau projet professionnel.
Niché dans 3 000 m2 en plein cœur de Paris, The Bureau accueille des start-up en mode vadrouille. Cet espace de coworking de luxe propose une expérience rare à Paris : une déco aux petits oignons, à mi-chemin entre Art Déco et Scandinave touch, une salle de sport en libre accès, des expos régulières et exclusives… Bref, tout ce qu’il faut pour travailler dans les meilleures conditions.
Ce luxe tranquille, on le retrouve aussi dans le bel appartement du 1er arrondissement que l’entrepreneur partage avec Maria, son épouse, et Magnus, son nouveau-né de 7 mois et demi. Nous retrouvons la jeune pousse bien assise dans sa chaise Stokke, gravée de son surnom, « The Magnitude », à l’image d’un petit catcheur ! Visage poupon et chevelure dorée, pas de doute, le sang des vikings coule dans ses veines. Si papa est danois, maman est néerlandaise. A la maison, l’anglais et le français se mélent mais c’est plutôt le Japon et la Scandinavie qui habillent les murs.
Mélange des cultures absolu.
Le beau et le bon, c’est un peu le crédo de Rasmus, qui a été élevé « avec le goût des belles choses »; en témoignent le décor théâtral de The Bureau et le raffinement de son appartement. Des valeurs que le jeune papa souhaite transmettre à son bambin. « Mon père m’emmenait chez les antiquaires et me faisait découvrir des expos en permanence. Alors je fais pareil avec Magnus, qui adore déjà les sorties culturelles. Il est hyper curieux ! Par exemple, il s’ennuie totalement à la campagne alors qu’il adore les supermarchés, qui grouillent de choses à attraper et à déplacer ».
Les sens du petit viking seront sans aucun doute mis en éveil par la belle collection design de son papa, qui avoue adorer particulièrement deux pièces : une série de photos de l’artiste japonais Hiroshi Sugomito et la fameuse lampe Maison Charles en forme d’ananas. Pointu ! « La déco, c’est mon dada. Quand nous avons pensé The Bureau, je ne voulais pas d’un concept à la Silicon Valley, épuré, très (trop) fonctionnel, presque froid. Je voulais un environnement bien parisien, où l’œil est flatté autant que l’esprit. J’ai meublé mon espace de travail comme ma maison, par coups de cœur et inspirations bien réfléchies ».
La déco chez Rasmus est à son image : en perpétuel mouvement. « Vous voyez, cette table basse Noguchi, j’étais fan quand je l’ai achetée, et maintenant je souhaite m’en séparer. Et c’est pareil pour nos canapés ! Nous n’arrivons pas à trouver the one, alors on en change assez souvent… ».
Mais s’il devait citer une pièce dont il ne se séparerait pas de sitôt, ce serait la chaise TrippTrapp de Stokke.
Resplendissante dans sa finition noir brillant, gravée sur son dossier, elle sied à merveille à Magnus, « le bébé le plus élégant du monde » selon son papa amoureux. Le plus : elle suivra l’évolution du bébé viking en s’adaptant à sa croissance. Mais cela n’est pas une surprise pour Rasmus qui a été élevé au Danemark, où la TrippTrapp est quasiment une institution. « J’ai grandi sur une TrippTrapp ! C’était évident pour moi que mon bébé aurait aussi cet héritage. Du coup, nous avons également équipé The Bureau de chaises Stokke pour nos collaborateurs qui s’accompagnent parfois de leurs enfants ».
Et puis, Magnus étant le premier bébé de la famille, on parie que la TrippTrapp rencontrera très vite son futur petit frère ou sa future petite sœur…
Ce n’est que le début.
Découvrez nos autres Good Dads dans notre dossier spécial.
Les adresses design de Rasmus
–AMPM, 62 rue Bonaparte, Paris 6ème. « Leur site internet est hyper pratique mais c’est vrai que j’aime sentir les matières et tester les produits avant de les adopter ».
-Milan, pour ses puces et ses antiquaires. « On y trouve des merveilles. Si j’avais le temps d’y consacrer plus de temps, je changerais quelques-unes de mes pièces danoises – que j’adore ! – pour des pièces de designers italiens comme Gio Ponti. La classe ! »
-Les Puces de Saint-Ouen, « Pas pour acheter, c’est bien trop cher ! Mais je m’y inspire beaucoup ».
Cette année, Stokke habille sa chaise emblématique de nouveaux coloris et d’une matière premium : Chêne Noir, Chêne Blanc et Chêne Gris délavé.
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