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En 1991, KENZO imagine KENZO HOMME, le premier parfum de la maison. 30 ans plus tard, le flacon en forme de bambou se réinvente dans une Eau de Toilette Intense, désormais incarnée par l’architecte de la nature, Orin Hardy.
Début des années 90, lancement du premier parfum du créateur japonais KENZO. La maison rompt avec la revendication masculine et virile de l’époque. Son parfum nous invite à un retour à l’essentiel. Une Première fragrance boisée marine inspirée par la nature. KENZO HOMME s’impose alors en icone de la parfumerie.
Cette année, c’est la renaissance avec une Eau de Toilette Intense. Le flacon se pare d’un bleu océan profond et de courbes reprenant la silhouette du fameux bambou. La maison a imaginé un écrin fusant d’une verticalité pure. Une proposition minimaliste, à la fois poétique et puissante.
Au-delà de l’aspect esthétique, ce flacon est un véritable emblème d’éco-responsabilité. Il est par exemple composé de verre recyclé ( à hauteur de 10%). Le capot (partie supérieure) contient 34% de plastique en moins. Un engagement responsable et écologique qui passe aussi par l’emballage : certifications du papier et encres biosourcées.
Le bambou, source d’inspiration
Si l’Eau de Toilette Intense KENZO HOMME était un végétal, se serait un Bambou. Un matériau en harmonie parfaite avec notre époque et nos envies de durabilité. Cette plante résonne particulièrement bien avec le nouveau visage de KENZO HOMME Eau de Toilette Intense. C’est Orin Hardy, designer de l’écologie et entrepreneur social que KENZO a choisi. Depuis une dizaine d’années l’homme forme et éduque une nouvelle génération d’architectes et d’ingénieurs. En effet, il est le fondateur du projet Bamboo U et spécialiste de la construction naturelle en bambou. « Un matériau naturel pour construire avec la nature plutôt que contre elle, explique-t-il, et qui va de la conception à la construction en passant par la fabrication. »
Bali, berceau de la création
Partis sur l’île indonésienne, à la découverte du projet Bamboo U et de son concepteur, le réalisateur Clément Beauvais et le producteur Arthur de Kersauson ont ramené de leur voyage un documentaire inspirant une nouvelle campagne KENZO. Ils nous invitent à voir la nature fertile de Bali. On découvre notamment la puissance de l’océan, la jungle luxuriante et les fantastiques forêts de bambous. On comprend ainsi mieux la philosophie d’Orin Hardy. « A travers Bamboo U, nous offrons un espace pour explorer ce que signifie vraiment la construction durable, dans une dimension esthétique, résume l’entrepreneur. Ceux qui viennent ici veulent repenser la façon dont ils fabriquent et leur rapport à la créativité. Ils découvrent en général un vrai sens de la communauté et repartent avec le sentiment qu’ils ne sont pas les seuls à vouloir créer un monde plus beau. Le bambou est un des moyens d’y arriver ».
Une peau salée chauffée par le soleil
En attendant de voir surgir de nouveaux projets d’architecture, le bambou insuffle ses courbes et son énergie dans cette nouvelle fragrance masculine. Son but : « reconnecter les hommes à leur nature profonde ». C’est Quentin Bisch qui l’a imaginée. Le célèbre parfumeur passionné chez Givaudan, auteur de grands succès pour Jean Paul Gaultier, Thierry Mugler et Etat Libre d’Orange. Cette Eau de Toilette Intense est « une fragrance boisée et marine qui évoque une peau salée chauffée par le soleil, comme un voyage olfactif en toute liberté. »
Dans le détail, le nouveau parfum KENZO HOMME associe la fraîcheur énergisante des Baies Roses liée à la Capsylone. Arrive ensuite la chaleur d’un Vétiver réchauffé par un accord de Bois de figuier et une overdose de Bois de Santal. Résultat : une association imprimant sur la peau une puissante sensualité. Le flacon teinté d’un bleu intense évoque la fraîcheur marine. Son capot, biseauté avec la netteté tranchante d’une coupe au katana, est frappé du sceau KENZO. S’emportant partout – du format nomade 40 ml, aux versions 60 ml et 110 ml -, cette nouvelle fragrance signe un nouveau chapitre dans l’histoire des parfums KENZO. Finalement, c’est le marqueur d’une masculinité à la recherche de ses racines, au plus près de la nature. « Se connecter à la nature, c’est se reconnecter à qui nous sommes vraiment », parole d’Orin.