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Grâce au partenariat avec l’iconique allemand Leica, le dernier smartphone imaginé par le chinois Huawei, numéro trois mondial de la téléphonie mobile, est vraiment unique.
Dans la jungle des smartphones, le P10 cultive sa différence. Son design pour commencer. Tout en métal, soigneusement travaillé, il affiche un galbe qui épouse parfaitement les courbes de la main et un toucher mat qui assure une excellente accroche. Avec un écran de 5,1 pouces – là où la majorité des modèles haut de gamme ont tendance à s’agrandir –, son format compact autorise une utilisation d’une seule main. Mais c’est loin d’être suffisant… et Huawei le sait… A l’origine, Huawei est un équipementier de réseau et de téléphonie.
Le P10 profite des dernières avancées en matière de technologies sans fil, aussi bien en captation qu’en stabilité. Le smartphone embarque un processeur (HiSilicon Kirin 960, produit par une filiale appartenant à 100 % à Huawei) proposant 3 Go de mémoire vive et de 32 à 64 Go d’espace disque (extensible à plus de 200 Go via un port microSD). L’expérience utilisateur est sans faille, avec une interface Android particulièrement véloce et parfaitement fluide. Les gamers pourront ainsi s’amuser avec des jeux vidéo 3D et profiter d’une animation irréprochable. Mais, là encore, ce n’est pas forcément suffisant… et Huawei le sait…
Huawei P10 : Outil de création urbain
C’est en réalité au dos du téléphone que se trouve son plus bel atout : une bande noire contenant deux objectifs photo, le tout surligné par la signature Leica. Le maître incontesté de la photographie a collaboré à l’élaboration de l’appareil photo (objectif et module photo), avant de les certifier dans ses bureaux. La maîtrise optique et l’expertise de Leica associées au savoir-faire numérique de Huawei produit des résultats étonnants. Le P10 dispose de deux capteurs photo, un couleur (RGB) de 12 mégapixels et un second dédié à la captation monochrome (noir et blanc) en 20 mégapixels.
Cette alliance originale a pour premier effet d’offrir des clichés bien plus contrastés et mieux définis qu’avec un capteur seul. Le module monochrome soutient alors le RGB pour améliorer le rendu général ou pour autoriser des effets tels que la profondeur de champ (effet de flou artistique). Autre avantage, il permet au P10 de revendiquer le titre de meilleur appareil numérique N&B pour smartphone. On obtient une définition impeccable, une accentuation des contrastes et des micro contrastes, qui apportent encore plus de cachet aux photos.
Un mode manuel permet d’influer sur la sensibilité Iso, l’ouverture ou la vitesse
Quand un smartphone devient aussi un outil créatif… particulièrement adapté à l’environnement urbain. Cette fresque de street-art au coin de la rue, ce couple enlacé dans la pénombre, cette perspective architecturale si surprenante… se déplacer en ville peut rapidement devenir un véritable safari photo. Le P10 permet en effet de capter ces instants uniques à la seconde, mais aussi de les sublimer. Quant au monochrome, il peut totalement changer la vision qu’on a d’une scène.
Une superstar en tête d'affiche
A l’occasion de la sortie de son P10, Huawei a dévoilé Une Histoire de Flou, un film publicitaire avec la star du football Antoine Griezmann.
Autre possibilité, le light painting, cette technique photographique qui consiste à capter des traînées de lumières et à jouer avec les mouvements photoniques pour créer des effets uniques. Last but not least, les plus avancés dans l’art photographique peuvent passer en mode manuel pour affiner leurs prises de vues avec la possibilité d’influer sur la sensibilité Iso, l’ouverture ou encore la vitesse d’obturation. Huawei sait qu’il propose là une véritable machine de compétition !
Huawei engagé dans la photo
Huawei investit beaucoup dans l’univers de la photographie. Sa présence à la foire Paris Photo et au festival Rencontres d’Arles n’est pas que technique. La marque profite de ces occasions pour faire découvrir des clichés et des artistes (Juan Jerez, Théo Gosselin, Stéphane Lavoué…) utilisant le P10. Le constructeur a lancé la Huawei-Academy, qui est autant une galerie pour professionnels et amateurs qu’un lieu d’apprentissage et d’échange. Dernièrement, le portraitiste américain Billy Kid a placé un P10 qui photographiait les visiteurs à Arles 2017 regardant ses photos. Il a ainsi capturé les émotions et les regards, pour les exposer ensuite à côté de l’œuvre regardée. Plus qu’une image ou une succession de pixels, Huawei met en avant l’aspect émotionnel que doit déclencher la photographie.
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